Le GREPH
L'objet du GREPH est d'étudier les effets du développement des sciences et des techniques sur les représentations sociales et politiques ainsi que sur l'action publique.
Équipe de science politique, et résolument pluridisciplinaire, le GREPH s'intéresse particulièrement à l'analyse épistémologique des liens complexes qui se nouent entre les sciences de la nature et les sciences sociales. Soucieux de comprendre les savoirs des sciences dites "dures", il s'attache aussi à situer et à caractériser la place et la part des "savants" dans la vie intellectuelle et politique.
Le GREPH entend ainsi proposer aux enseignants et aux chercheurs, comme aux étudiants (de DEA ou doctorants), un lieu de réflexion analysant de manière approfondie notre vie politique par une connaissance plus précise de son environnement scientifique et technique.
Créé en 2003 avec le statut de Jeune équipe (rattachée à l'Institut d'Études Politiques de Lyon), le GREPH est aujourd'hui l'une des équipes constitutives du Laboratoire d'Étude du Phénomène Scientifique (LEPS- EA 4148), équipe d'accueil inter-établissements.
Dernières publications :
Jacques Michel, "Vertus et risques de l'interdisciplinarité et de la pluridisciplinarité" in La circulation des savoirs, (F. Darbellay, éd.), Peter Lang, 2012, pp. 85-109.
En ligne :
- Araben, Volume 6, "Hannah ARENDT : de la théorie politique aux relations internationales"
- Araben, Volume 5, "Savoirs universitaires, sciences et programmes politiques : quelles médiations ?"
- Jacques Michel, "Le différend Pasteur/Bernard - un débat de clôture pour la biologie du 19ème siècle", in La biologia : parametro epistemologico del XIX secolo (a cura di M. Donzelli), Liguori Editore, Napoli, 2003, pp. 213-28.
- Jacques Michel, "Le consentement dans et selon la Loi du 20 décembre 1988 : insuffisant et insatisfaisant", in Le consentement en pratique clinique (L. Colonna & B. Lachaud éd), Paris, Flammarion, 2000, pp. 29-40.
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